Sur l’initiative d’une amie, j’ai écrit des vœux en janvier 2016 sur des petites papiers et les ai oubliés pendant toute l’année… 12 mois et un déménagement plus tard, je les ai (re)découverts à Noël et sur la quinzaine que j’avais écrits, environ 10 se sont révélés exacts.
Pourquoi ça risque de marcher ? Parce que en les verbalisant, on fait le choix d’une direction, on pose une intention, et on concentre l’attention sur ce qui est important pour chacun de nous parmi la multitude des informations, des projets, des idées…
En l’absence de déterminer ce que l’on voeux… Oups l’on veut, on laisse inconsciemment les autres décider de notre vie et de nos choix à notre place.
C’est drôle que ce mot “voeux” soit l’homophone de “veux” alors qu’ils ne partagent aucun origine commune… Et lorsqu’on dit “meilleurs voeux” sans rien derrière, “voeux” signifiant “promesse”, on (se) promet quoi exactement ?
C’est reparti pour cette année 2017, de nouveaux vœux sont écrits et attendent d’être ouverts en décembre… La précision du voeu est gage de réussite, certains seront oubliés au cours de l’année, d’autres serviront d’objectifs et de défis personnels…
C’est facile, amusant et étonnant de voir comment les intentions se manifestent…
Ecrire et laisser infuser…