Le jour ou j’ai appris à me comprendre, j’ai mieux compris les autres.
Apprendre à se connaître est le début de la liberté…
Lorsqu’on lit un livre, regarde un film, se crée de fait une distance entre soi “je” et le sujet “il” dont nous devenons l’observateur. Dès qu’il s’agit de soi, le “je” observateur se confond au “je” sujet et il devient alors difficile de s’observer… Sans vouloir tomber dans les travers du nombrilisme, se connaitre passe par une observation “neutre” de soi, de ses comportements, ses qualités et ses particularités…. Comme mon ami le dit avec tant de cœur, se connaitre est le début de la liberté…
Comment faire ? Comment savoir qui nous sommes vraiment ?
Avez vous déjà essayé de vous décrire à la troisième personne ? Non pas pour se prendre pour Alain Delon, juste pour avoir une écoute différente, se voir avec cette distance qui nous manque lorsqu’on parle avec “je” et qui nous rend confus, piégé entre les peurs d’être prétentieux et la fausse modestie qui nous empêchent de nous reconnaitre avec simplicité.
De façon plus ludique, au cours des ateliers Lettres à l’être, je vous propose des exercices simples qui permettent par des pirouettes de langage, de se trouver face à soi, de façontrès surprenante.
Se découvrir comme si nous devenions extérieurs à notre mental ou aux protections de notre ego, devient chose facile pour accéder à son centre, son être profond, aisément et sans heurt. Ainsi, nos talents cachés se révèlent au grand jour et nous offrent une plus grande liberté d’expression de soi.
Je vous souhaite de trouver cette liberté en passant par le chemin de la connaissance de soi...
Comme le disait Socrate, “Connais toi toi-même et tu connaîtras l’univers” n’est-il pas un joli programme !